Les émetteurs single B sous la surveillance des agences de notation
Même si les agences de notation n’ont pas encore modifié leurs scénarios centraux relatifs aux taux de défaillance du crédit, leur nervosité semble plus grande face aux évolutions du cycle économique et la résurgence de la volatilité, sur fond d’incertitudes géopolitiques accrues. Les secteurs particulièrement sensibles à l’évolution « macro » (biens de consommation, services, distribution/restauration), tout comme le secteur pétrolier, en ont déjà fait les frais.