Trade Finance – Ce qu’il faut retenir de la conférence GTR Commodities 2022 de Genève

La conférence annuelle GTR Commodities a rassemblé à Genève la foule habituelle de directeurs financiers, trésoriers, responsables de sociétés de négoce, banquiers, assureurs, avocats, consultants et éditeurs. S’il n’y avait pas de thème particulier, dans une ambiance plutôt positive, quelques points ont retenu l’attention de notre spécialiste, Mihai Andreoiu.

Enquête – Les groupes français abordent la montée des risques macroéconomiques en bonne santé financière

Dans son étude annuelle sur le financement des corporates du SBF 120, Redbridge pointe la qualité de crédit des principales sociétés cotées françaises. Le spécialiste du conseil en financement-trésorerie invite les directions financières à faire valoir cette solidité face à des prêteurs de plus en plus soucieux des risques macroéconomiques.

Supply Chain Finance ou comment sublimer son fonds de commerce « fournisseurs »

Nombre d’entreprises regardent à la loupe leur liquidité. Cette attention est légitime, essentielle et vertueuse. Il en va du respect de ses covenants, du coût de sa dette et en premier chef de sa capacité à absorber les chocs. Cette attention passe, entre autres, par un pilotage étroit du BFR, cette composante qui n’est jamais que semi-apprivoisée, sujette au fil des saisons à de la dérive ou de la bonification, liées aux aléas de l’activité opérationnelle.

L’épineuse gestion d’une banque russe dans son syndicat bancaire

Fin avril, le groupe de télécommunications néerlandais Veon, coté sur Euronext Amsterdam, annonçait à ses investisseurs « un changement dans sa structure de capital », comprenant notamment le transfert à sa filiale russe d’un contrat de prêt souscrit auprès de Sberbank. Cette transparence n’est pas la règle et peu de corporates ont à ce jour communiqué sur leurs financements apportés par des établissements de crédits russes.

Pic du crédit bancaire ? Pic du négoce des matières premières ?

Face au regain de tensions sur les marchés de matières premières, les banques se sont mobilisées pour déployer des liquidités auprès des négociants du monde entier et en particulier les négociants en métaux impactés par les turbulences du LME (London Metal Exchange). Mihai Andreoiu, senior director chez Redbridge, juge que la crise actuelle fait resurgir la question de savoir si les négociants peuvent continuer à se reposer principalement sur des lignes de financement bancaire non confirmées ?

Téléchargez l'étude Redbridge x l'AFTE

Select your location