
Résultats de l’enquête AFTE-Redbridge – Organisations de trésorerie / La révolution digitale
Des enquêtes exclusives, un point régulier sur l’actualité et des témoignages de professionnels des mondes de la trésorerie et de la finance d’entreprise à retrouver sur cette page ou dans notre publication mensuelle ‘La Lettre des directions financières’.
L’écosystème des paiements évolue si vite que nul prestataire ne peut prétendre couvrir à lui seul l’ensemble des besoins monétiques d’un commerçant. Dès lors, que peuvent faire les commerçants pour transformer ce défi en un avantage concurrentiel ? Tout commence par une bonne connaissance des architectures de paiement et de la manière de les exploiter, explique Gabriel Lucas.
En 2022, son équipe a encore levé plus de 10 milliards d’euros de dette. Didier Philouze, responsable de l’activité conseil en dette chez Redbridge, dresse le bilan de l’année écoulée sur le marché des financements et livre son analyse prospective pour 2023.
La nouvelle étude annuelle de Redbridge sur le financement des corporates du SBF 120 pointe la qualité de crédit des principales sociétés cotées françaises, mais la montée des risques macro, qui rend les prêteurs plus sélectifs, invite à chaque direction financière à positionner son profil de crédit au meilleur niveau, notamment en s’appuyant sur la dimension ESG du groupe.
Hausse des taux, hausse des marges, finance durable et Green NEU CP. L’AFTE a partagé en amont de son rendez-vous annuel des 15 et 16 novembre à Paris son analyse sur les grands sujets d’actualité du trésorier.
La conférence annuelle GTR Commodities a rassemblé à Genève la foule habituelle de directeurs financiers, trésoriers, responsables de sociétés de négoce, banquiers, assureurs, avocats, consultants et éditeurs. S’il n’y avait pas de thème particulier, dans une ambiance plutôt positive, quelques points ont retenu l’attention de notre spécialiste, Mihai Andreoiu.
Dans son étude annuelle sur le financement des corporates du SBF 120, Redbridge pointe la qualité de crédit des principales sociétés cotées françaises. Le spécialiste du conseil en financement-trésorerie invite les directions financières à faire valoir cette solidité face à des prêteurs de plus en plus soucieux des risques macroéconomiques.
Décriée pour avoir été le vecteur de la crise financière de 2008, la titrisation est devenue un outil de financement aux risques maîtrisés et, donc, à réévaluer à l’aune de la hausse des coûts de financement, écrit Thierry Sebton.
Près de huit messages de paiement transfrontalier MT 103 sur dix sont désormais envoyés via la solution GPI, ce qui fait de l’initiative de SWIFT visant à améliorer le niveau de service des banques en matière de paiements transfrontaliers un grand succès. La montée en puissance de nouvelles technologies telles que la blockchain et les crypto-monnaies va-t-elle désormais défaire la domination de SWIFT dans le domaine ?
Nombre d’entreprises regardent à la loupe leur liquidité. Cette attention est légitime, essentielle et vertueuse. Il en va du respect de ses covenants, du coût de sa dette et en premier chef de sa capacité à absorber les chocs. Cette attention passe, entre autres, par un pilotage étroit du BFR, cette composante qui n’est jamais que semi-apprivoisée, sujette au fil des saisons à de la dérive ou de la bonification, liées aux aléas de l’activité opérationnelle.
Fin du QE et resserrement monétaire, explosion des taux longs à la hausse, inflation généralisée, l’environnement de crédit a radicalement changé en quelques mois.
Fin avril, le groupe de télécommunications néerlandais Veon, coté sur Euronext Amsterdam, annonçait à ses investisseurs « un changement dans sa structure de capital », comprenant notamment le transfert à sa filiale russe d’un contrat de prêt souscrit auprès de Sberbank. Cette transparence n’est pas la règle et peu de corporates ont à ce jour communiqué sur leurs financements apportés par des établissements de crédits russes.
En mars, Tom Hunt, en charge des questions de trésorerie au sein de l’Association of Financial Professionals (AFP) américaine a animé un webinaire sur le coût réel des paiements. Il avait pour invités Mark Penserini (Corpay), David Deranek (Health Care Service Corporation) et Bridget Meyer (Redbridge).
Si le paiement différé, ou Buy Now, Pay Later (BNPL), n’est pas un concept novateur, il gagne plus que jamais en popularité. Gabriel Lucas et Hector Galvan, de Redbridge, discutent des avantages, des inconvénients et de l’avenir des paiements différés en se plaçant du point de vue des commerçants.
Le paiement différé (Buy now, pay later) devient un mode de paiement de plus en plus populaire auprès des consommateurs et des commerçants. Comme son nom l’indique, le Buy now, pay later ou BNPL permet aux consommateurs d’acheter un bien ou un service, et de le payer plus tard, généralement en une série de versements fractionnés. Si ce mode de paiement se développe, les commerçants doivent se poser les bonnes questions avant de lancer leur programme.
Nous avons tous déjà rencontré des QR codes (Quick Response) dans notre vie quotidienne. Ces codes de forme carrée, pouvant être scannés, fonctionnent sur le même principe que les codes-barres traditionnels, à la différence qu’ils peuvent renfermer beaucoup plus d’informations.